Sur une route du sud de la France, Simon Templar vient en aide à deux femmes attaquées par des malfrats. Il s'agit de la veuve de l'ex-dictateur du Santa Cruz, Donna Luisa, surnommé "la vache espagnole", et de sa jeune protégée, Consuelo. Les voyoux tentaient de dérober l'incroyable quantité de bijoux que Donna Luisa porte sur elle. Ces bijoux sont au centre de multiples intrigues. Un représentant du nouveau gouvernement la presse de les lui rendre car ceux-ci auraient été achetés avec l'argent du peuple santa-cruzien. Cet homme tente de convaincre le Saint de les voler contre 100 000 francs! De son côté, le jeune frère du défunt mari de Donna Luisa veut provoquer une nouvelle révolution dans son pays afin d'instaurer un nouveau régime dictatorial. Il fait pression sur Donna Luisa pour qu'elle le suive dans cette aventure. Il essaye de faire assassiner Simon car il pense que celui-ci contrarie ces plans par son influence sur Luisa. Templar est aussi mis sur écoute par la police française qui le soupçonne de vouloir voler les bijoux! Le Saint est aussi instrumentalisé par les deux femmes qui le poussent à les cambrioler en lui révélant haut et fort l'emplacement des bijoux et le code du coffre-fort qui les contient. Simon semble céder à la tentation puisqu'il commet effectivement ce vol. Il s'enfuit avec Consuelo qui l'a surpris pendant son larcin et le supplie de l'emmener avec lui car elle rêve d'une vie aventureuse. Mais, sur la route, ils sont attaqués par des complices du neveu avec qui Consuelo était de mêche. Celle-ci tente alors de les doubler en abattant l'un des malfrats et en essayant de s'enfuir avec la voiture de Simon. C'est alors que les policiers arrivent et l'arrêtent. Simon avait tenté de les berner en plaçant des magnétophones devant les micros placés par leurs soins dans le jardin de la villa, mais ceux-ci avaient découvert la supercherie et s'étaient élancés à ses trousses. Les bijoux sont rendus à Donna Luisa qui explique alors qu'elle voulait lui faire voler les copies placées au coffre afin que les originaux soient à l'abri !